Incarnation (Daryl Delight)


📚Chronique lecture: Incarnation de Daryl Delight @daryl_delight (auto-edition) (𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒) 

🖋 👻🔪

⭐️Note lecture:7/10 

📜Synopsis: Un avocat est sauvagement assassiné. La vidéo de la caméra de surveillance ne trompe pas, Bruce Nilsen est revenu d'entre les morts. Et si Amalia était la prochaine cible ? Le lieutenant Bolard, retraité depuis peu, compte bien reprendre du service pour protéger la jeune femme. 

💌Avis : Incarnation est le nouveau et troisième tome d’une série de livres écrit par Daryl Delight. Le point commun aux trois livres: la famille Nilsen, dont le frère Bruce et la sœur Lisa ont quelques tendances psychopathes. 😈 

J’avais personnellement adoré les premiers tomes de cette désormais trilogie. Et c’est toujours avec autant de plaisir que j’ai retrouvé Amalia et nos désormais célèbres Nilsen. Daryl a définitivement su instaurer un univers et une ambiance à lui, avec un style d’écriture vraiment agréable à lire. 🖋 

Alors oui, il faut avoir lu les deux premiers tomes, mais surtout Amalia, pour bien apprécier votre lecture (La Famille Nilsen étant plutôt une sorte de « spin-off »). Je ne m’attendais personnellement pas à ce qu’il y ait une suite directe à Amalia et c’est déjà un bon départ, j’aime les surprises! 🎁 

On retrouve dans ce tome Amalia après son face à face sanglant avec les Nilsen. Si certains souvenirs la hantent, un autre fantôme va surgir du passé. 👻 

Tout ce qui a fait le succès d’Amalia est là : pas mal de suspense, une touche d’enquête policière et une belle pincée de sang. J’aurais aimé un soupçon supplémentaire de mystère puisque la question initiale concernant un certain revenant est pour moi élucidée un peu trop rapidement. ⏰ 

Reste que j'ai passé un très agréable moment de lecture, ponctué de surprises que je n'avais pour le coup pas vu venir. Amalia et les Nilsen, c'est un fameux cocktail qui marche toujours aussi bien. Je me demande même si je ne serai pas prête à reprendre un verre. 🍸 

𝐶𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑧-𝑣𝑜𝑢𝑠 𝐴𝑚𝑎𝑙𝑖𝑎 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑁𝑖𝑙𝑠𝑒𝑛?


Image The Paris Review

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